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Coup de mer
Poussé par ce grand vent levé de bon matin
Je me rends à la plage pour humer l’air marin
Mais elle n’y était pas elle s’était échappée
Laissant le lieu rempli de plein de bois flottés
J’ai cherché mais en vain pour la faire revenir
D’arrêter le marin de souffler le zéphire
Les vents ont décidé d’en faire qu’à leur tête
Ce sera « Marinas » ou le grec peut être
Ni tramontane ni cers ni même le vent d’autan
La mer c’était au bord ici et maintenant
Et pendant que j’errai sur le bord du rivage
Un oiseau dans le ciel m’indiqua le présage
Qu’il faut toujours attendre et être très patient
Quand on veut voir changer une situation
Le lendemain matin le vent s’était calmé
Et la mer comme toujours au large s’était allée
le 20 septembre 2014
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