•  

     

    On vient de m’envoyer une vieille photo d’école

     

    je l’ai examinée à m’en user les yeux

     

    je me souvient de tout et de cette année folle

     

    où même les professeurs étaient tous merveilleux

     

     

     

    j’ai pu sans me forcer redonner tout les noms

     

    des élèves réunis sur ce fameux cliché

     

    ma mémoire fatiguée n’a pas fait d’objection

     

    dans l’image du passé j’ai été projeté

     

     

    d’abord c’était les filles avec leurs doux sourires

     

    j’avais quelques faiblesses pour celle ci où celle la

     

    ensuite c’était mes « potes » toujours prêt à prédire

     

    les interros surprises qu’on avait en compta

     

     

     

    mais c’était en français que nous nous éclations

     

    ce jeune professeur nous a ouvert nos âmes

     

    il a su mettre en nous des tonnes de passions

     

    et donner notre avis sur les gens qu’on acclame

     

     

    je remercie la vie d’avoir pu rencontrer

     

    ses êtres merveilleux qu’on voit sur cette photo

     

    je remercie Jacqueline de l’avoir envoyée

     

    et souhaite de tout mon cœur te revoir très bientôt


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  • Papaella où t’es ? Papaella ou t’es ?

     

    Longtemps je rechercher ce que j’allai manger

     

    mais voila grâce a Thierry je vais me régaler

     

    Papaella où t’es ? Papaella ou t’es ?

     

     

     

    J’ai demandé a Josette de la préparer

     

    elle m’a dis tant pis, elle n’était pas disposée

     

    a faire avec amour ce plat bien mijoté

     

    Papaella où t’es ? Papaella où t’es ?

     

     

     

    J’ai voulu faire moi même et j’ai effectué

     

    un riz avec des moules et même du poulet

     

    dommage c’était trop cuit c’est ce que disent les pompiers

     

    Papaella où t’es ? Papaella oùu t’es ?

     

     

     

    Alors je suis parti dans l’restau d’a coté

     

    manger le plat du jour un énorme cassoulet

     

    et depuis ce bon plat j’arrête pas de péter

     

    Papaella où t’es ? Papaella où t’es ?

     


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  •  

     

    Dans l'ombre d'un monde où la tristesse se joue,

    dans l’esquisse d’un monde où la tristesse se joue

    Un musicien rêveur admire la nuit étoilée,

    un musicien rêveur sous la voûte étoilée

    Il berce son piano, ses notes parlent en écho,

    attache quelques notes a un vieux rêve fou

    Mais au fond de son cœur, la mélancolie est voilée.

    Faire de cette mélodie une humble mélopée

     

    Sa musique envole les âmes de tous les passants,

    sa musique s’envole vers les années passés

    Son talent un don, une symphonie sans fin,

    son talant est un don une symphonie sans fin

    Mais les joies de la vie, il les a vues s'éloigner,

    délayé dans l’alcool qui le laisse éveillé

    Car trop absorbé dans sa bulle, il n'a pas eu faim.

    La mélodie magique vient de se terminer

     

    Il regarde son reflet, mélodieux, solitaire,

    Il regarde son reflet, mélodieux, solitaire,

    Dans le miroir de sa vie, les regrets viennent griffer,

    Dans le miroir d’une vie, les regrets sont amer

    Son visage pâle, fatigué, en devient mystère,

    son visage affaibli fatigué et ridé

    Car la tristesse l'a gardé prisonnier.

    Ne montre que tristesse qui le garde prisonnier

     

    Il fixe la lune, une compagne immuable,

    il regarde la lune sa compagne immuable

    Un témoin muet des nuits à créer des mélodies,

    témoin muet des nuits à faire des mélodies,

    Mais elle est si lointaine, un songe inatteignable,

    Mais elle est si lointaine, un songe inatteignable,

    Un rappel cruel de l'éphémère, de l'infini.

    Un rappel cruel éphemere, infini

     

     

    Les étoiles, scintillantes, dansent sur sa partition,

    Les étoiles, scintillantes, dansent sur sa partition,

    Elles illuminent le chemin qu'il n'a pas emprunté,

    illuminent le chemin qu'elles n’ont pas emprunté,

    Les rêves, les amours, les folles passions,

    Les rêves, les amours et les folles passions

    Trop occupé à accorder ses notes, à composer.

    Occupent son esprit et viennent tout gâcher

     

    Le musicien, plus que jamais, ressent la tristesse,

    Le musicien, bien seul, ressent toute sa tristesse,

    Un voile sombre qui recouvre sa mélancolie,

    un voile d’illusion couvre sa mélancolie

    Il n'a pas vécu sa vie, il en a conscience,

    n’a pas vécu sa vie , sombre dans la vieillesse

    Regrets étouffant ses soupirs de nostalgie.

    étouffant ses soupirs d’accord de nostalgie

     

    Mais au cœur des regrets, une étincelle brille,

    Mais au cœur des regrets, une étincelle brille,

    Un appel, un espoir qui s'agite dans la pénombre,

    Un appel, un espoir tapie dans la pénombre,

    Il prend son instrument, compose une mélodie,

    Il prend son instrument, compose une mélodie,

    Pour enfin vivre sa vie, enfin être libre et sombre.

    D’où sort encore une fois des appels et des ombres

     

    Chatgpt

    chichoi


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    Aïe aïe aïe mes os !!! la maison en chantier

     

    comme apres une strouga devant les escaliers

     

    y a d’la poussière partout et tout est enfoui

     

    un couple de canards y trouv’rez pas ses p’tits

     

    et puis les ouvriers quel barouf y nous font

     

    avec leur matériel ils font des vibrations

     

    et je recoupe ici ...et je casse la bas

     

    ma parole y me refont les rues de la casbah

     

    ça y est c’est midi j’vai taper l’anisette

     

    mais je la trouve pas et je deviens blanquette

     

    puré si je l’ai pas ... mon avenir se plombe

     

    donne moi une p’tite cristal où le cul y te tombe !…

     

    et voila l’autre calbo avec son yaoulette

     

    ils remonte de manger et il font une sale tête

     

    paraît -il que le sol il serait même pas droit

     

    il brandisse le niveau c’est le seul qui fait foi

     

    mais faudrait être sguitch ou bien mitch laouere

     

    le sol il est pas droit qu’es ce que je peux y faire

     

    c’est vrai qu’il est penché faudrait être chugade

     

    pour voir qu’ils on casse et fait une cagade

     

    il rigole les fartasses avec leur vieux burnousse

     

    en attendant c’est moi... qui dépense tout mon flouz


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  •  

     

    ce matin c’est parti on va faire des travaux

     

    notez bien que le « on » ne veux pas dire moi même

     

    mais les doux sous traitants qui vont faire le boulot

     

    et, douc’ment sans rien dire je vais tirer ma flemme …

     

     

    comme prévu, à huit heure l’équipe est réunie

     

    je propose un café pour lancer le chantier

     

    qu’ils boiront tour à tour en montant les outils

     

    ils sont prêt à bosser, nous sommes motivés…

     

     

    Dans un bruit effrayant les perceuses sont en marche

     

    il y’a de la poussière jusque dans les toilettes

     

    eux ils sont équipés et moi je tousse et crache

     

    je me demande même « quand es ce que ça s’arrête »….

     

     

    les murs et même le sol vibrent au son des burins

     

    et soudain c’est le calme la guerre est elle fini ?

     

    Symphonie des balais on entasse dans un coin

     

    les morceaux de plâtras du sol démoli…

     

     

    mais une acre odeur envahi mes narines

     

    on prépare le ciment pour le poser à terre

     

    on me chasse de la pièce car ils vont faire une bruine

     

    pour gonfler le liant et l’isoler de l’air…

     

     

    Puis ils sont reparti pour revenir demain

     

    les hommes poussiéreux replacent les outils

     

    qu’ils utiliseront pour rendre l’avenir plus serin

     

    et faire que leur besogne soit le plus abouti ….

     

     

     


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