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    Une fleur c'est fanée dans le vase du salon

    le chat vient de rentrer et j’entends son ronron

    le vent s’essouffle un peu il fait place à la pluie

    le tic tac de l’horloge égraine mon ennuie

    qu'elle est triste cette vie où tout est monotone

    et triste la journée où on attend personne

    où l’écho me renvoi mes pensées solitaires

    des volutes de fumées des idées éphémères

     

    l'ennuie est un passage entre rien et le vide

    atmosphère saturée de vapeurs insipides

     

    un oiseau s'est posé sur le toit du garage

    la pluie s'est arrêtée et seul quelques nuages

    cachent encore le ciel bleu promesse du beau temps

    le soleil peu venir si il en a le temps

    la musique des vagues et le cris des mouette

    redonne l'illusion d'un dernier soir de fête

    et la rue qui s'anime de passant hébétés

    par une journée de pluie qu'ils vont vite oublier

     

    la pluie c'est un passage entre l'eau et le ciel

    passage interrompue par des bruissements d'ailes

     

    tout prés de mon oreille une abeille bourdonne

    je la chasse de la main mais ,,,c'est le téléphone

    je m’étais endormi dans un rêve moelleux

    un rêve où même les anges ne sont pas merveilleux

    un rêve où tout est noir sans goût et sans couleur

    un rêve sans amour... sans aucune saveur

    mais le soleil est là et je suis bien vivant

    je m’étire comme un chat et je sort du divan

     

    le rêve c'est un passage du semblant au réelle

    croyez vous qui les anges ont réellement des d'ailes ?

     

     

     

     


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    La brigade du kif me fait l'amité de passer sur ma page 


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  • inspiration


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    Une vague après l'autre la mer c'est retirée

    elle était en furie et avait dépassée

    les limites fixées par quelques promoteurs

    des casseurs de nature et des mauvais coucheur

    mais le vent s'est calmée sur cette morne plage

    redessinant ainsi un nouveau paysage

    ou les arbres arrachées et des bois de toutes sortes

    on changer cette gréve en une nature morte

    et l'on voit ça et la ou plutôt j'imagine

    des corps tourbillonnants et des douces colombines

    dansant dans le soleil enlacés par le vent

    en musique magique : le sacre du printemps !!

     

     


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    À tirer sur la corde elle fini par casser

    trop de bonté dans l’âme faut pas en abuser

    j'ai ouvert bien des fois mon cœur aux étrangers

    aux amis, aux voisins aux passants éplorés

    mais que m'ont ils rendus en retour simplement

    j'avais besoins d'un geste je ne suis qu'un enfant

    je crois à toutes ses choses qu'avant on apprenait

    la compassion l'amour et même la charité

    mais les hommes ont changé et c'est chacun pour soi

    ce que tu prêtes ici demain n'est plus à toi

    j'ai été très souvent abusé et trahi

    avec « il faut qu'tu m'aides » et jamais un merci

    mais je vais me reprendre et tout refoutre en l'air

    j'ai fini l’empathie j'ai un sale caractère !!

                                                           le 16 février 2016

     

     


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