•  

     

    Debout les trous du cul, les donneur de leçon

     

    poussez sur vos réseaux on vous donne raison

     

    vous marchez sur la route , battez donc la campagne

     

    sortez de vos confort arrêtez le champagne

     

    s’ils disent révolution partez et battez vous

     

    et interrogez vous sur les autres conflits

     

    qui se passe au tiers monde oui mais ça on s’en fou

     

    les journaux du vingt heure les médias en font fi

     

    posez vous la question une seule fois pour savoir

     

    si on né formaté ou bien si on est con

     

    pour être bien pensant la télé est a voir

     

    il faudrait bien l’éteindre pour garder vos moutons …

     

    Après la coupe Qatar qu’« on » a failli gagner

     

    nos humbles supporter on repris le boulot

     

    même notre président les a félicité

     

    leur chèque de fin de mois est rempli de zéros

     

    tu dois encore te battre pour gagner ta croûte

     

    les jeux ça fait rêver mais les autres encaissent

     

    il faut penser à rien oublier coûte que coûte

     

    marcher toujours devant en serrant bien les fesses

     

     


    votre commentaire
  •  

     

    Petit je m’en allais dans des rêves profonds

     

    peuplés de beaux cadeaux et maculés de neige

     

    je regardais la crèche et ses nombreux moutons

     

    et me laissais bercer dans ce douillet cortège.

     

    Il n’y avait jamais de vieillard rougeoyant

     

    qui sonnait les clochettes sur son traîneau assis

     

    mais des amis choisis, des parents prévenant

     

    qui fêtaient tous ensemble la naissance du messie.

     

    Bien sur il s’en allait déposer fébrilement

     

    les objets attendus devant la cheminée

     

    que c’est beau l’innocence et les songes d’enfants

     

    mais voila j’ai grandi…. le rêve est terminé


    votre commentaire
  •  

     

    Il neigeait sur la ville le sol était tout blanc 

     

    on entendait au loin rigoler les badauds

     

    de mon lit attendri j’attendais le moment

     

    ou il viendrai me voir pour m’offrir les cadeaux.

     

    Bien sur je n’avais pas, été sage tout les jours

     

    il est très difficile d’être parfait en tout

     

    mais avec des prières et encore de l’amour

     

    je pense que son traîneau s’arrêtera chez nous.

     

    j’ai attendu longtemps devant cette fenêtre

     

    les badauds sont partis c’est le vide dans ma rue

     

    j’espérai malgré tout... dans une heure peut être...

     

    Mes larmes embuent mes yeux je ne vois déjà plus

     

    mais soudain dans le ciel un tintement joyeux

     

    le vieille homme arrivait dans son fier équipage

     

    il déposa au sol mes cadeaux merveilleux

     

    et parti prestement vers d’autres enfants sages


    votre commentaire
  •  

     

    hey toi l’éternel , entends tu ma tristesse

    ici sur cette terre c’est une division

    avant dans le pays ce n’était qu’allégresse

    maintenant on nous traque jusque dans nos maisons

    il faut réduire ici et pas consommer là

    pour ne pas polluer il faut payer plus cher

    mais cet industriel que fait il ici bas

    notre vie est bien triste on es mis aux enchères

    on travaille tout le jour pour gagner une misère

    le salaire est tombé et il ne reste rien

    on ne fait que payer mais pas tous solidaires

    le caddy c’est le même mais le mien n’est pas plein

     

    hey toi le tout puissant fait partager un peu

    les nantis les nababs ceux qui ne comptent jamais

    donne nous le courage de formuler un vœux

    celui d’être vivant dans un monde de paix


    votre commentaire
  •  

     

    y a plus que le Qatar et les matchs de foot !!!

    les français en ont marre de toujours débourser

    nos élus ne font rien on peut dire qu’il s’en     foutent

    la guerre et le Covid il faut plus y penser

    mais dans les epic’ries les prix sont à la hausse

    le beurre, les œufs les pâtes et puis la pénurie

    il ne nous restent plus qu’à rogner tout les « osses »

    et on se nourrira d’un simple bol de riz

     


    votre commentaire