• Rêveries nocturnes

     

     

    Adossé au muret j’entends gronder la mer

    Le vent qui la chahute m’apporte les embruns

    Aux senteurs de vieux bois et a ce gout amer

    Qu’on quelquefois les fut ou l’on fait le vieux vins

    Le ciel est sans nuage, les étoiles infinies

    Comme plein de diamants sur un écrin géant

    L’univers est si vaste et je suis si petit

    Adossé au muret c’est la vie que j’entends

    Le souffle de la terre qui cogne à mes oreilles

    Qui fait de cette nuit une nuit fantastique

    Et que chaque matin rien n’est jamais pareil

    Le jour qui va venir sera un jour unique

    Adossé au muret j’entends gronder la mer

    Dans le ciel vient planer un très gros goéland

    Et je pars avec lui rejoindre mes chimères

    L’amour est ma planète et j’ai le cœur si grand

     

    Le 22 mai 2013


  • Commentaires

    1
    michelehardenne
    Mercredi 22 Mai 2013 à 09:00

    Bonjour Jean-François,

    Belle attitude de rêveur qui sait écouter le chant du vent, qui s'éclaire à la lueur des étoiles et qui prend de ce temps qui défile, l'instant du sourire de la vie ! Bises

    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    2
    Dimanche 26 Mai 2013 à 11:33

    Un petit coucou en passant en ce jour particulier!

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :