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Rêveries nocturnes
Adossé au muret j’entends gronder la mer
Le vent qui la chahute m’apporte les embruns
Aux senteurs de vieux bois et a ce gout amer
Qu’on quelquefois les fut ou l’on fait le vieux vins
Le ciel est sans nuage, les étoiles infinies
Comme plein de diamants sur un écrin géant
L’univers est si vaste et je suis si petit
Adossé au muret c’est la vie que j’entends
Le souffle de la terre qui cogne à mes oreilles
Qui fait de cette nuit une nuit fantastique
Et que chaque matin rien n’est jamais pareil
Le jour qui va venir sera un jour unique
Adossé au muret j’entends gronder la mer
Dans le ciel vient planer un très gros goéland
Et je pars avec lui rejoindre mes chimères
L’amour est ma planète et j’ai le cœur si grand
Le 22 mai 2013
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Commentaires
Bonjour Jean-François,
Belle attitude de rêveur qui sait écouter le chant du vent, qui s'éclaire à la lueur des étoiles et qui prend de ce temps qui défile, l'instant du sourire de la vie ! Bises