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La musique est mon sang elle coule dans mes veines
Elle me permet de vivre d’exister d’être moi
D’apaiser mes angoisses les rendre plus sereine
De faire que le manant remplace tous les rois
Bien souvent certain soir quand monte à mon esprit
Les tracas quotidien le spleen de l’existence
Je compose quelques notes j’en faisune mélodie
Je la joue à tue-tête c’est là ma récompense
Et mon cerveau repus des ondes bénéfiques
Rentre dans la douceur du rêve abandonné
Et dessine pour moi des pays magnifique
Ou j’aime quelquefois allez me promener
Le 27 février 2014
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Les nuages dans le ciel dessinent des chimères
Qui s’en iront rejoindre le bord de l’horizon
Ou iront tranquillement se baigner dans la mer
Et dessiner dessus de beaux moutons tous blancs
La lumière du soleil semble passer au travers
D’un rideau de feuillage ou d’un vaste vitrail
Fait des effets de spot sur les grands rochers verts
Et d’un geste la mer peaufine le travail
Elle ajoute à la vue l’odeur de la marée
Et le bruit des oiseaux, des vagues sur la plage
Le Gallet qui s’en va par la houle emporté
Mais qui revient très vite sur le bord du rivage
Le 17 février 2014
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Alors que je pourrai m’endormir sans soucis
Mon esprit me tourmente car l’administration
Me demande de leur dire avec preuve à l’appuie
Tous mes salaires passés d’employeur et des noms
Je fournis les papiers après moultes recherches
J’envoie le tout sous pli à l’adresse indiquée
J’ai même rajouté l’adresse de cette crèche
Ou je perdu jadis mon sourire déluré
Quelques jours se passe je crois l’affaire réglée
Heureux d’avoir remis un dossier bien à jour
C’est un autre organisme qui réclame les papiers
Il me dit qu’il les veut lui aussi à son tour
Hélas pour mon malheur j’avais déjà rangé
Dans un autre classeur et dans une autre boite
J’ai du tout ressortir et tout ré-envoyer
Ne voulez-vous qu’après je n’ai pas les mains moites
Si je peux me permettre de soumettre une idée
Quand un service quelconque demande un document
Ne le range jamais attends qu’une société
Te le réclame encore c’est toujours plus prudent
Jfm le 05/02/2014
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Un oiseau est venu me parler à l’oreille
Il m’a conté sa vie et ses humeurs aussi
Je lui ai suggéré de partir au soleil
C’est le seul lieu magique quand on nous a tout pris
J’ai entendu parler des notes de musique
Dans le fond embrumé de mon cerveau rêveur
Qui s’empilait ensemble comme le font les briques
Du jeu de mon enfance où je passai des heures
Sans même y prendre garde un air fut construit
Diriger par des dieux qui me tourmentent encore
Quelques accords plaqués font une mélodie
Qui plane sur ma tête et plane sur mon corps
Les mots se sont rejoints pour former une chanson
Des mots simples et serins des mots qu’on abandonne
Imbriquant la musique avec de la passion
Qui forme le chemin qui va à Babylone.
Le 1 février 2014
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